Miseen ligne par PRO IMMO le 10 février à 16:29. Ceci est une annonce de professionnel de la rubrique Immobilier. Numéro Siren : 789226800 Prix: 160 000 € Ville : Paris Code postal : 75017 Frais d'agence inclus : Non Description : Licence bleu de taxi à ceder à Paris. Pour toutes demandes de renseingments, merci de contacter ProImmo au Ventesaux enchères immobilières des avocats et des notaires : annonces des ventes immobilières aux enchères publiques d'appartements, maisons, immeubles, fonds de commerce. Conseils et astuces : comment enchérir, comment trouver les ventes par adjudication, qu'est-ce qu'une mise à prix. 24Aug 2022 - Résidence Clos D'arly, 1 hébergement(s) disponible(s) à partir de inclus. Profitez de vos vacances au meilleur prix avec maeva.com. Prixde la licence taxi parisien Juillet 2020 : 135 000 € Jump to. Sections of this page. Accessibility Help. Press alt + / to open this menu. Facebook. Email or phone: Password: Forgot account? Sign Up. 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C’est ensuite par arrêtés préfectoraux que sont fixés les différentes composantes du Nostaxis : prix licence taxi parisien – sont agrées et certifiés par la CPAM afin de garantir à nos clients un transport Assis Professionnalisé, Ces transports, qualifiés de médicaux sont nécessairement effectués par un taxi conventionné. Il vous permettra de bénéficier d’une prise en charge par la sécurité sociale allant de 65% à 100% d8DR. "C’est à la façon dont un pays gère le problème de ses taxis que l’on peut mesurer sa capacité à se réformer en profondeur", déclarait Jacques Attali, en 2008, alors qu’à la demande de Nicolas Sarkozy il présentait un catalogue de 316 mesures à ses yeux indispensables pour moderniser la France. Ironie de l’histoire en charge, après Arnaud Montebourg, de faire évoluer le statut des professions réglementées, afin de les ouvrir à la concurrence et de faire baisser leurs tarifs, le nouveau ministre de l’Economie, Emmanuel Macron, était à l’époque le rapporteur de cette Commission pour la libération de la croissance française. Le jeune ministre dispose donc aujourd’hui de tous les éléments pour mesurer la difficulté de sa tâche. A la lecture de la loi votée le 18 septembre par l’Assemblée nationale, les quelque taxis opérant sur le territoire français, dont à Paris, sont bien partis pour tuer dans l’œuf cette nouvelle velléité réformatrice. Car leurs concurrents, les VTC véhicules de transport avec chauffeur sont enserrés dans de nouvelles contraintes, comme l’obligation de retourner à leur siège entre chaque course sauf s’ils ont une réservation en cours. "Ce monopole s’ajoute au monopole" "Le même tour de passe-passe qu’en 2008 s’est joué au Parlement, affirme Pierre Cahuc, professeur à l’Ecole polytechnique. Profitant de la technicité du sujet, sous couvert d’ouverture des professions réglementées, on a renforcé la rente des taxis." Une allégation qui fait bondir Nicolas Rousselet, président d’un groupe diversifié qui, avec les Taxis G7 et Les Taxis bleus, contrôle près des deux tiers des taxis parisiens, soit directement avec les 763 licences récupérées par son père, André Rousselet, lorsqu’il a racheté, en 1967, la G7 en faillite, soit indirectement, avec des chauffeurs sous contrat "La réforme des taxis est l’occasion pour de nombreux théoriciens de l’économie de se faire un nom, alors qu’ils ne connaissent pas la réalité de nos contraintes et la complexité du dossier." Membre du comité exécutif du Medef, Nicolas Rousselet glisse aussi, en passant, que l’hostilité de Jacques Attali, ancien conseiller spécial de François Mitterrand, est due au contentieux historique qui l’oppose à son père, ami et exécuteur testamentaire de l’ancien président de la République. Il reste que la mainmise, par un seul groupe, sur la majorité des taxis d’une grande capitale est un cas unique au monde. "Ce monopole s’ajoute au monopole, affirme Jacques Attali. Comme les céréaliers de la Beauce mettent en avant les agriculteurs de montagne pour optimiser leurs profits, la famille Rousselet avance masquée derrière les petits artisans taxis." Avec une efficacité certaine quand on voit la façon dont la précédente réforme fut à la fois vidée de son contenu et retournée à l’avantage de la profession. En 2008, la commission pilotée par Jacques Attali et Emmanuel Macron évaluait à le nombre de licences nécessaires pour accompagner l’évolution du trafic aérien et ferroviaire. Elle proposait d’accorder gratuitement une licence incessible à tous les demandeurs inscrits fin 2007, de fusionner sous l’appellation de taxi francilien ceux de Paris et de banlieue, d’autoriser la maraude, comme à New York à Paris, les taxis vides doivent se diriger aussitôt vers la station la plus proche, et de libéraliser les VTC pour atteindre, au total, véhicules assurant dans la capitale le transport de personnes, ce qui, disait-elle, "entraînerait des créations d’emplois massives". Et ferait, à coup sûr, le bonheur des Parisiens. Le prix des licences a explosé Las ! Devant le mouvement de colère des taxis – et du groupe UMP à l’Assemblée nationale –, les principales mesures de la commission Attali sont écartées. Un accord est signé, le 28 mai 2008, entre les taxis et la ministre de l’Intérieur, Michèle Alliot-Marie, qui annonce une "augmentation du nombre de taxis qui passera de à d’ici à 2010". Un gros mensonge aucune vraie licence supplémentaire n’est prévue, mais diverses mesures techniques dont la création d’une voie réservée entre Roissy et Paris, et l’aménagement des abords des aéroports ! aboutissant à "l’équivalent" de taxis supplémentaires… Le texte répond en grande partie aux aspirations des chauffeurs de taxi bénéficier de plus de couloirs réservés, être moins nombreux et travailler avec le moins de contraintes possibles. En 1995, Charles Pasqua, ministre de l’Intérieur, avait accordé aux chauffeurs qui quittaient la profession le droit de revendre les licences qui leur avaient été attribuées gratuitement. Après la pantalonnade Alliot-Marie de 2008, leur prix a explosé, passant de à euros. Mieux à Orly ou sur la Côte d’Azur – où la recette moyenne est de euros par jour, quatre fois plus qu’à Paris –, le prix des licences dépasse les euros ! La puissance du lobby des taxis est, en tout cas, indéniable. C’est lui qui a bloqué l’attribution des licences, pas plus nombreuses aujourd’hui que dans les années 1930 ; c’est lui qui s’est opposé à une desserte ferroviaire directe entre l’aéroport Charles-de-Gaulle à Roissy et la capitale, faisant de Paris un cas unique en Europe ; c’est lui qui a empêché que soient installées des stations Autolib et des bornes de recharge électriques dans les aéroports parisiens ; c’est lui qui s’oppose à un prix forfaitaire pour la desserte des aéroports, comme c’est le cas dans beaucoup de capitales européennes ; c’est lui qui a obtenu que les voies qui leur sont réservées soient interdites aux deux-roues et aux VTC, et on en passe… Les VTC nuisent-ils vraiement aux taxis? Cheval de bataille actuel des taxis ? Le développement rapide des VTC, contre lesquels les chauffeurs, chauffés à blanc, ont mené plusieurs actions de blocage de la circulation, parfois accompagnées de violence contre les non-grévistes. Affolé par cette jacquerie, le gouvernement a demandé au député de Saône-et-Loire Thomas Thévenoud – éphémère ministre du Commerce extérieur dans le gouvernement Valls II avant d’en être chassé pour n’avoir pas payé ses impôts ! – de pondre un rapport qui a servi de base à la nouvelle loi. Les chauffeurs de taxi dénoncent une "concurrence mortelle". Nicolas Rousselet, de son côté, affirme que l’enjeu est "le remplacement des taxis par les VTC". Ce que ceux-ci nient. "L’irruption et la croissance des VTC n’ont jamais nui aux taxis, assure Benjamin Cardoso, patron de la société LeCab, qu’il a créée en 2012 et qui emploie déjà 40 personnes, avec 400 chauffeurs sous contrat, et assure transports Paris-aéroports par jour. Alors qu’à Paris nous ne sommes encore que à Londres comme à New York, il y a VTC qui couvrent le marché des courses avec réservation, tandis que taxis assurent la maraude, c’est-à-dire la prise des clients qui les hèlent dans la rue." Peu de taxis réellement disponibles "Il n’y a jamais de taxi quand on en a besoin", entend-on dans les dîners en ville. De fait, le cas de Paris est particulier. Car avec la G7 et ses concurrents, les deux tiers des taxis parisiens, soit plus de réalisent 80% de leur chiffre d’affaires avec des courses sur réservation. "Il en reste environ disponibles en ville, reconnaît-on au ministère de l’Intérieur. Et même moins lorsque l’on sait qu’une grande partie d’entre eux préfèrent faire des heures de queue à Orly et à Roissy plutôt que de rester au service des clients lambda." Les VTC signeraient-ils la mort des taxis ? Tandis que Rousselet prend exemple sur la diminution de 65% en quinze mois du nombre de taxis à San Francisco en raison des VTC et du covoiturage, Cardoso rétorque qu’il y a de la place pour tout le monde "A Londres, la demande pour devenir taxi est si grande que l’examen, qui exige notamment la connaissance de toutes les rues de la capitale, a encore été durci. Après quoi il faut s’inscrire sur une liste et attendre quatre ans !" Signe, comme en France, d’un attrait persistant pour ce métier ouvert à tous, jeunes de banlieue sans qualification comme quinquagénaires ayant perdu leur emploi. Le même profil que les chauffeurs de VTC, qui se lancent avec le statut d’autoentrepreneur. Le flou juridique autour des VTC Entre les taxis et les VTC, les arguments volent bas. Les VTC accusent les taxis de faire du black – ce qui explique leur réticence à se faire payer autrement qu’en espèces – et de tricher sur leurs revenus, "impossibles à évaluer précisément", selon un rapport de l’inspection des finances. Le revenu moyen déclaré tourne autour de euros par mois, alors qu’il serait quatre fois supérieur. "En réalité, il y a un monde entre ceux qui triment pour louer leur voiture et rembourser les emprunts qu’ils ont contractés pour acheter leur plaque, ceux qui les louent jusqu’à euros par mois et les artisans qui détiennent leur licence depuis longtemps et bénéficient d’une vraie rente de situation, explique un parlementaire au fait de ce dossier. Ce sont ceux-là qui refusent les courses qui ne les arrangent pas et préfèrent taper le carton à Roissy avec leurs collègues." Il est vrai que l’émergence des VTC a lieu dans un flou administratif alors que nul ne conteste – pas même les plus libéraux – que le transport de personnes doit être réglementé. "Il y a des zozos qui louent une voiture pendant les deux mois d’été pour faire du VTC vers Cannes et Monaco", s’insurge un taxi niçois. "Ils n’ont même pas d’horodateurs", s’énerve encore Raouf Mokdad, chauffeur syndicaliste parisien. "Personne n’a envie de monter dans une voiture conduite par un chauffeur non assuré qui ne connaît pas la route, ou, pis, par un obsédé sexuel déjà condamné", concède Jacques Attali, qui est favorable à l’interdiction d’UberPop, un système de covoiturage hors de tout contrôle. Un scandale a éclaté à San Francisco. En désaccord avec son client sur l’itinéraire à suivre, un chauffeur de VTC l’a frappé d’un coup de marteau en pleine tête ! A l’inverse, les taxis accusent les VTC de concurrence déloyale il leur suffit de payer 100 euros pour exercer leur profession, il n’existe aucun contrôle sur leurs assurances de transport de personnes. Il y a mieux, ou pis. "LeCab, par exemple, est fondé sur une tricherie, dénonce Nicolas Rousselet pour rester autoentrepreneurs et ne pas payer de charges, les chauffeurs défalquent de leur chiffre d’affaires le prix de la location de leur voiture, ce qui est parfaitement illégal." En Allemagne, c’est toute l’offre du groupe mondial de VTC Uber qui a été interdite. "La protection des passagers est une priorité", a déclaré le Sénat de Berlin en expliquant que ces véhicules étaient "pilotés par des conducteurs non agréés, dont les contrats d’assurance ne couvrent pas le transport de passagers". Même si Uber conteste cette décision qui "réduit la possibilité de choix du consommateur", le coup d’arrêt est sévère. Il est vrai que cette filiale de Google et de Goldman Sachs se développe dans le monde en foulant aux pieds toutes les réglementations. Le PDG mondial d’Uber a dit devant les maires américains qu’il "continuera à proposer des innovations sans se soucier des autorisations". Mais le vent tourne, même aux Etats-Unis. Les VTC ne pourront rester longtemps dans l’illégalité sans être rattrapés par la patrouille. Fabrique de l'opinion En attendant, la crispation des taxis est totale. Pas moyen d’entrer dans le cercle vertueux de Londres ou de New York, où l’abondance des VTC et la disponibilité des taxis conduisent les usagers à abandonner leur voiture individuelle – ils en louent une quand ils en ont besoin –, avec pour conséquence une circulation plus fluide, donc un usage accru des taxis, que le New-Yorkais utilise six à sept fois plus que le Parisien. Une étude a montré que, à Londres comme à New York, les 20% de citoyens les plus pauvres consomment 1,5 fois plus de taxis que les 20% plus riches. Tout le contraire de Paris, où les 20% les plus riches consomment 40% des taxis ! "Tout simplement parce qu’en France l’offre insuffisante de taxis oblige les plus démunis à garder leur voiture individuelle, qui grève leur budget", assure Benjamin Cardoso. "En réalité, s’il y a un domaine où l’offre crée la demande, c’est bien celui des taxis, affirme Jacques Attali. Tant que les chauffeurs ne l’auront pas compris, ils réagiront violemment à toute tentative d’ouverture de leur profession." On est loin d’une telle prise de conscience. Si le lobby des taxis est si puissant, si leur crispation corporatiste reçoit un tel écho, c’est parce qu’il s’agit d’une profession que les responsables politiques de tout bord ne veulent pas se mettre à dos tant elle est censée fabriquer l’opinion, dans le huis clos des voitures. Mais en réalité, c’est surtout parce que la pénurie organisée arrange tout le monde, y compris les… VTC. Libéraux en parole, dans les faits, ils sont hostiles à l’octroi de licences de taxis supplémentaires. "Ce n’est politiquement pas possible, confie ainsi Benjamin Cardoso. Car si on distribue gratuitement nouvelles plaques, comme il n’y a que 700 transactions par an, leur valeur tombera à zéro pendant trois ans !" Difficile, en effet, de léser les taxis qui partent en retraite et ceux qui se sont endettés pour acquérir les fameuses plaques au prix fort… Une pénurie qui arrange Mais la pénurie arrange surtout les taxis eux-mêmes. Elle leur permet d’augmenter les prix, alors que ceux-ci sont fixés par la puissance publique. C’est ainsi que la G7, qui transporte 20 millions de personnes par an, a segmenté son offre, avec un Service Plus voitures et un Club Affaires voitures réservé aux abonnés à l’année, à quoi s’ajoute une surfacturation. On estime ainsi à 45 euros le coût moyen d’une course, contre 25 euros pour un taxi normal. S’est ainsi mis en place un système hautement hiérarchisé, confortable pour les entreprises et les gens aisés, mais qui exclut les clients normaux. Taxis-de-France, le 1er site de petites annonces des taxis, vous propose une sélection d'annonces de vente, achat ou location d'autorisation de stationnement licence taxi, matériel d'exploitation, lumineux, compteur, offre et demande d'emploi, disponibles en Ile-de-France. • Mise à jour journalière des annonces, nouvelles annonces, retrait des annonces périmées. • Les annonces sont passées sous la seule responsabilité des annonceurs, elles sont triées par ordre décroissant de date de publication. • Depuis le 1er janvier 2005 la rubrique petites annonces a reçu 8247496 visiteurs • Pour passer une petite annonce sur cette page, cliquez sur ce lien Passer une annonce • Cliquez sur ce lien pour Modifier/prolonger/supprimer une annonce Vous pouvez filtrer les annonces par type, et par région ou département, avec deux filtres simultanément. 42 annonces correspondent à ces critères 78 - Yvelines - Licence de taxis mittainville 78 exploité depuis 16ans bonne clientèles aéroports gares séminaires mariages agrée cpam. 140 000€ ou 80 000€ d apport minimum pour vente location. 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Bonne journée Tél. 06 89 92 20 27 - Mobile 06 89 92 20 27 - contct Annonce n° 8570, publiée le 17/08/2022, expire le 17/02/2023. 75 - Paris - Vente aux encheres publiques d’une licence de taxi parisien jeudi 8 septembre 2022 a 13h au 33 rue de montholon 75009 paris. mise a prix 90000€. enregistrement obligatoire - une lettre accreditive pour un montant minimum a la mise a prix augmentee des frais de vente soit 103852 € ou un accord de pret de la banque. - etre titulaire d’un certificat de capacite professionnelle delivre par l’autorite administrative competente pour les personnes souhaitant etre artisan taxi ou un kbis pour les societes frais de vente en sus des encheres ttc. Tél. 03 86 62 00 75 - Mobile 06 09 13 55 79 - contct - Annonce n° 8566, publiée le 16/08/2022, expire le 09/09/2022. 77 - Seine-et-Marne - Location ADS conventionner secteur seine et marne nord 1500 euro sans vehicule tel 0677369220Mobile 06 77 36 92 20 Annonce n° 8562, publiée le 11/08/2022, expire le 11/02/2023. 78 - Yvelines - Bonjour, Je suis à la recherche d’une licence de taxi dans les Yvelines en location. Carte professionnelle 78 acquise. Je vous 06 99 74 82 47 - contct Annonce n° 8550, publiée le 27/07/2022, expire le 27/01/2023. 75 - Paris - Bonjour, je cherche à louer mon véhicule prius plus hybride du 15 août au 30 septembre 2022contct Annonce n° 8543, publiée le 21/07/2022, expire le 21/01/2023. Modifiée le 23/07/2022. 75 - Paris - Bonjour. Sérieux, je recherche activement une location gérance parisienne sans véhicule ADS seulepour la rentrée 2022. N’hésitez pas à me contacter au 06 69 28 15 32 Annonce n° 8538, publiée le 19/07/2022, expire le 19/01/2023. 75 - Paris - Licence de taxi parisien - suite a saisie Vente aux enchères le 15/09/22 à 14H 152 BD Haussman 75 mise à prix 60 000€ Vente en live sur autorisation de stationnement n° 1071 délivrée le 30/12/2014 suite à transfert en date du 7/08/2014 vendue sans accessoires cahier des charges consultable sur demande conditions pour encherir - paiement comptant uniquement par virement. le virement doit intervenir dans un délai maximum d\'un mois après la vente. - en cas de financement par prêt bancaire exigence d\'un accord écrit préalable de la banque avec engagement de débloquer les fonds dès l\'adjudication prononcée. - enregistrement préalable obligatoire pour participer à la vente avec garantie professionnelle permis de taxi et kbis de société de moins de 2 mois. chèque de caution de 20 000 € à l\'ordre maître marie-charlotte lagrange 2 pièces d\' 02 51 96 78 51 - contct - Annonce n° 8537, publiée le 19/07/2022, expire le 16/09/2022. Modifiée le 25/07/2022. 78 - Yvelines - À vendre Licence taxi St Cyr l’Ecole. Merci de ne contacter qu’après validation du 000 euros Tél. 06 07 25 36 60 - contct Annonce n° 8536, publiée le 18/07/2022, expire le 18/01/2023. Publié le 05/04/2016 à 0600, Mis à jour le 05/04/2016 à 1109 REMY GABALDA/AFP LE SCAN ÉCO/VIDÉO - Selon Terra Nova, le rachat des licences cessibles pour les chauffeurs de taxi pourrait coûter plus de 4 milliards d'euros et 135 euros mensuels par remède à la crise? Le secrétaire d'État aux Transports, Alain Vidalies, a présenté, ce lundi, sa feuille de route pour sortir du conflit qui oppose les taxis aux VTC. Pour la première fois, il retient le principe d'un fonds de garantie pour les taxis qui permettrait le rachat par l'État des licences cessibles, pour les chauffeurs de taxi volontaires».C'était une demande des chauffeurs de taxi qui, avec l'arrivée des VTC, voyaient depuis deux ans le prix de leur licence chuter, alors même que certains s'étaient lourdement endettés pour la un rapport publié en mars 2016, le think tank de gauche, Terra Nova, donne une estimation du coût de la mesure et expose un mécanisme de financement.»» À lire aussi les vrais salaires des chauffeurs de taxisTout d'abord, comment définir la valeur des licences pour un rachat sur une base juste qui satisfasse les taxis? Une grande partie des licences a été acquise à une époque où elles coûtaient moins chers qu'à présent. Or, certaines estimations valorisent le marché des licences à 8 milliards d'euros dont près de 5 pour les seules licences des taxis parisiens. En effet, ces chiffres se basent sur la valeur actuelle des licences. Ainsi, préconise Terra Nova, une indemnisation au prix historique d'acquisition serait à la fois juste, puisqu'elle correspondrait aux sommes effectivement déboursées par le titulaire de la licence pour son acquisition, et économiquement préférable pour la collectivité».»» À lire aussi Les taxis menacent de bloquer l'Euro de football cet étéPartant de ce présupposé, selon les calculs du think tank, le coût global de l'indemnisation, au coût historique actualisé, s'élèverait à un maximum de 4,5 milliards d'euros. Ainsi, l'indemnisation des licences à leur prix historique actualisé s'avère nettement plus abordable qu'une indemnisation aux valeurs actuelles de finance?Deuxième problème, le financement. Pas de dédommagement des titulaires des licences sur le dos du contribuable, assure le think tank. Il souhaite éviter une hausse de l'endettement déjà élevé des administrations solution? Les créances des titulaires des licences seraient transférées vers une structure privée financée à la fois par un fonds dédié, mais aussi par un emprunt sur trente ans par exemple remboursé grâce aux cotisations versées par l'ensemble des professionnels du secteur. Pour les cotisations, un contrat entre l'État et les représentants de la profession serait conclu. Ces derniers se verraient ainsi octroyer le droit d'imposer des cotisations dans la limite du montant du prêt. Ainsi, l'État n'apporterait pas directement sa garantie, ce qui éviterait que les dettes de la profession lui soient imputées par les autorités budgétaires européennes. Mais il rendrait indirectement possible le montage, en sécurisant le droit du fonds à prélever des cotisations sur les professionnels du secteur», indique le tel montage aboutirait au paiement de cotisations qui devraient rester supportables puisque la valeur de l'indemnisation, si l'on retient la base du prix historique d'acquisition, n'irait pas au-delà de 4,5 milliards d'euros, puisque les taux d'intérêt sont historiquement bas et puisque la libéralisation du secteur devrait s'accompagner d'une hausse sensible du nombre de chauffeurs, et donc de cotisations pour financer le remboursement de l'emprunt». D'ailleurs les recettes fiscales de l'État augmenteraient et une partie de celles-ci pourrait être redistribuée aux chauffeurs au travers de mécanisme de crédit d'impôts».135 euros par mois par chauffeurSelon Terra Nova, si l'on retient le chiffre volontairement large de 4,5 milliards d'euros sur 30 ans, au taux d'intérêt de 2%, pour une population de chauffeurs passant de à sur la période, on obtient une échéance et des cotisations annuelles de l'ordre de 195 millions d'euros. Ces cotisations représenteraient environ 4,3% du chiffre d'affaires de la profession, sur la base des dernières données fournies par l'INSEE».Cela reviendrait donc à euros par an ou encore 135 euros par mois à chaque chauffeur. Sans oublier le crédit d'impôt qui viendrait atténuer le coût. En outre, la part de la charge financière dans le chiffre d'affaires diminuerait sensiblement avec le développement de l'activité. À l'heure actuelle, un artisan taxi parisien peut payer plus de euros mensuels pour le seul remboursement du crédit contracté pour acquérir sa licence», justifie Terra Nova. DERNIÈRES ANNONCES DEPOSÉES 02670 Folembray Tony souhaite acheter une licence de taxi81100 Castres Luc souhaite acheter une licence de taxi13127 Vitrolles Rached souhaite louer une licence de taxi Pour devenir taxi, il y a du monde à la portière même si le prix de la licence s'est beaucoup élevé. La loi de l'offre et de la demande n'est respectée surtout dans les grandes villes sur le marché de la licence de taxi, il y a un grand déséquilibre. Cette flambée s'explique par le peu de vendeurs face aux innombrables acheteurs potentiels. Si le prix des licences taxi était aux alentours de 130 000 en 2006, la licence atteint aujourd'hui les 200 000 . Après avoir flirté avec les 250 000 dernièrement ! Voyant cette augmentation sans cesse de prix, les chauffeurs préfèrent attendre pour vendre leurs licences afin de gagner encore plus ! Ce profit ne s'arrêtera pas jusqu'à ce que les banques arrêtent de suivre le cours. Car ces dernières consentent des prêts supérieurs à 40 000 dont le remboursement s'étale largement sur dix ans. Après une simulation, on voit que les mensualités sont assez élevées emprunter 250 000 sur 7 ans correspond à des mensualités de 3400 euros par mois. En percevant ce cas, les artisans taxis peuvent travailler plus que les travailleurs ordinaires car la loi autorise les conducteurs propriétaires à faire 77 heures par semaine, contre 35 heures pour les travailleurs conventionnels. Il y a peu près plus de 175 000 licences à travers le pays et les conducteurs bossent pendant 80 heures par semaine pour rembourser le prix de leur licence et se verser un salaire de misère ! Les travailleurs conventionnels gagnent plus que les conducteurs de taxis puisque le SMIC horaire brut est fixé à 8,44 alors que les chauffeurs de taxis ne gagnent en moyenne que 7,63 . L'idée d'être au compte des taxis séduit particulièrement les chômeurs. Parmi ceux qui veulent devenir taxis, personne ne sort de la fonction publique, explique Alain Estival. Ce sont des gens qui subissent la crise économique. » Ce sera donc le prix à payer pour les personnes qui ont un parcours professionnel antérieur peu solide. On dit à la mutuelle des artisans taxis que Dans deux ou trois ans, on risque d'en voir beaucoup dans nos bureaux qui auront déposé le bilan. » Voici les prix des licences de taxi à titre indicatif dans quelques départements Paris 130 000 à 220 000 Rouen 180 000 Evreux 100 000 Versailles 170 000 Nantes 165000 à 250 000 Saint étienne entre 65 000 et 70 000 Hyères 250 000 Saint-Tropez 250 000 Bordeaux le prix est entre 120 000 et 130 000 Salon de Provence 150 000 La différence de prix dans ces départements s'explique par le fait que dans les milieux urbains les clients fréquentent assez souvent les taxis, contrairement dans les zones ruraux. C'est pour cette même raison aussi que dans certaines communes, la mairie délivre gratuitement les licences de taxi. Profession corporatiste encadrée par l'Etat, le métier de chauffeur de taxis est aux avant-postes de l'économie dérégulée la gig economy. Guillaume Lejeune est docteur en sociologie et chercheur associé au CERLIS. En 2020, il soutient sa thèse intitulée "Les chauffeures de taxi parisiens. Enquête sur un petit métier des transports en crise." Depuis 2013, le monde des taxis est bouleversé. D’abord l’arrivée des VTC plus de entre 2013 et 2019, chiffre en hausse sur le marché avec lesquels les taxis parisiens doivent partager le territoire, alors que les deux corps de métiers n’ont pas les mêmes charges. Le prix de la plaque a évolué à la baisse. En 2013, la licence avait atteint 246 000 euros. Payante depuis 1995, c'est paradoxalement à cette période-là, que les chauffeurs avaient le plus de mal à rembourser les emprunts qu'ils avaient faits pour acheter cette licence. Et il se trouve que la licence n'a fait que baisser jusqu'en 2019. Globalement, elle est arrivée à 110 000 euros. Puis, en ce qui concerne la circulation, les embouteillages dans la ville se sont intensifiés et certains couloirs de taxis ont rétréci pour laisser la place aux pistes cyclables. Les 30 km heure déjà de nuit, c'est une contrainte supplémentaire puisque ce qui est apprécié dans le travail de nuit, c'est de pouvoir circuler de façon fluide et donc d'échapper aux bouchons, notamment. Ç_a peut entraîner une forme d'usure. Au travail, c'était le cas notamment quand les véhicules étaient moins bien équipés avec l'embrayage, le frein, et ce, plusieurs dizaines ou centaines de fois par jour. Mais la plupart du temps, il est difficile de contourner l'ensemble des bouchons, d'autant plus qu’ils interviennent dans les heures de pointe. Et les heures de pointe représentent les moments de travail privilégiés des chauffeurs de taxi. _ Ce qui est déterminant pour un chauffeur de taxi est de réduire au maximum l'attente entre deux clients. La répartition des taxis dans la capitale s'organise alors selon le jour et l'heure dans le but de réduire cette attente. La répartition des taxis est divisée entre les quartiers ouest et les quartiers est de la capitale, avec une préférence quand même pour le travail dans les quartiers plus huppés comme le 16ème, le 8ème arrondissement ou les Champs Elysées, qui sont à la fois des quartiers d'affaires et des quartiers touristiques. Donc l'ouest en journée, parce qu'il y a une possibilité d'enchaînement des courses. Et la nuit, le week-end, les chauffeurs de taxi vont davantage faire des courses qui vont aller en périphérie et les faire dans les quartiers de sortie. En cette année électorale, peut-on prévoir un vote des chauffeurs de taxis parisiens ? Les taxis parisiens sont des travailleurs non salariés. Ils correspondent assez bien à cette sociologie électorale de petits indépendants, artisans et commerçants. Ils ont plutôt un ancrage à droite. Ils soulignent l'importance du rapport à l'Etat, axé sur le rapport aux cotisations, le rapport aux charges, comme c'est souvent rappelé. Et et ce rapport-là va déterminer la plupart du temps le vote. Concernant les profils aujourd'hui des chauffeurs de taxi parisiens, Guillaume Lejeune ajoute Il y a peut être une baisse en termes de moyenne d'âge puisque la moyenne d'âge des chauffeurs de taxi était de 47/48 ans. Ça a toujours été d'ailleurs une moyenne d'âge assez élevée puisqu'on est dans un métier de reconversion où les gens ont une trajectoire professionnelle antérieure.

le prix de la licence taxi parisien